Robot pour être honnête...

Une nouvelle espèce ?

      Les robots humanoïdes ont une forme humaine, c’est-à-dire qu’ils sont bipèdes avec deux bras et une tête. On les appelle humanoïdes du fait de leur apparence humaine. Ces nouveaux compagnons sont autonomes, c’est à dire qu’ils ont une capacité à se gouverner eux-mêmes, selon leurs propres règles variables.

Une avancée exponentielle

      Le premier robot humanoïde (une paire de jambes puis un ajout de bras) a été créé dans les années 2000. Il devait seulement monter et descendre des escaliers et évoluer dans une pièce encombrée de meubles.
     Aujourd’hui les robots sont dotés d’une puce électronique qui leur permet d’apprendre et de comprendre ainsi que de reconnaître des images. De plus, les robots d’aujourd’hui peuvent parler comme des humains et carrément reproduire des voix humaines. Les robots d’aujourd’hui sont dotés de capacités nettement supérieures : ils peuvent sauter, courir, danser, et aussi faire des saltos. Leurs logiciels intègrent des algorithmes de calcul hyper précis. Par exemple, un robot muni d’un pistolet ne rate jamais sa cible.

Les robots animaux :
toutous ou molosses ?

      Certains robots animaux peuvent être utilisés pour voir de plus près et discrètement les espèces animales : les ornithoptères sont des robots volants mi-oiseau mi-robot (c’est-à-dire que l’on prend les caractéristiques des animaux volants pour les mettre au service de la robotique). Ces robots servent à mieux voir et connaître la vie d’un animal pour, par exemple, savoir comment préserver les espèces ou tout simplement pour mieux connaître leur mode de vie.
      D’autres robots interviennent comme support de l’armée de

terre. Par exemple, le big dog : c’est un robot d’un mètre de long et de 75 cm de hauteur, d’une habileté apparemment sans faille. Il aide au transport de vivres.


Je ne suis peut-être pas humanoïde, mais je rends service...

       Certains peuvent même sauver des vies, comme par exemple le robot cafard fabriqué en polyfluorure de vinylidène (le PVDF est un fluoropolymère thermoplastique très résistant à l'instar des autres fluoropolymères), il supporte les rayons ultraviolets et les agents chimiques les plus corrosifs. Ce robot servira aux missions de sauvetage, il est capable de se faire écraser et de repartir, il peut aussi gravir des pentes et aller très vite, il peut être utile lors d’éboulements afin de localiser des gens enterrés sous des gravats.

La haute technologie,
un plus pour l’avenir ?

      Oui, car les robots servent au bien-être des gens, surtout aux personnes en difficulté comme les handicapés, et ils servent aussi à sauver des vies comme le robot-cafard comme nous venons de l’expliquer. Mais il faut faire attention à ne pas aller trop loin sur l’avancée technique de l’autonomie des robots, car nous créons peut-être les conditions de notre propre extinction. De plus, les robots prennent de plus en plus la place d’humains dans les travaux. Peut-être un jour les robots seront-ils patrons d’entreprises ?
      Les robots sont aussi une source d’amusement, comme les voitures téléguidés ou les drones car, oui, les jouets robotiques sont une très grande source d’amusement sans laquelle

beaucoup s’ennuieraient.

L’autonomie des robots

      L’autonomie des robots est un très gros sujet de débat par rapport à leur droit sur la vie humaine. Elle doit être encadrée par les lois d’Asimov. Exposées pour la première fois dans sa nouvelle « Cercle vicieux » (Runaround, 1942), mais annoncées dans quelques histoires plus anciennes, ces lois sont :

  1. Un robot ne peut porter atteinte à un être humain, ni, en restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger ;
  2. Un robot doit obéir aux ordres qui lui sont donnés par un être humain, sauf si de tels ordres entrent en conflit avec la première loi ;
  3. Un robot doit protéger son existence tant que cette protection n'entre pas en conflit avec la première ou la deuxième règle.

      Sans ces trois règles, les robots ne doivent pas pouvoir être en état de fonctionner, car nous devons penser à nous, les hommes, et à notre vie, au lieu de toujours vouloir avancer plus loin et de trop perfectionner nos créations. Cela pourrait nous coûter la vie. Mais nous avons un peu de temps avant cela car le niveau technologique des puces, la source d’alimentation et la batterie ne sont pas encore au point.
      Les robots sont un sujet de débat. Personnellement (grâce à nos informations) nous pensons que cette avancée technologique ira forcément trop loin car les concepteurs de ses robots sont des passionnés et ils voudront les perfectionner. Donc nous sommes contre cette trop grande avancée technologique qui pourrait nous perdre, sauf si elle est restreinte par l’État et encadrée par les lois d’Asimov.

Joseph et Samuel    

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© Le Presse-papier & Collège Philippe de Commynes (Tours) 2021

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