En ce moment, on entend beaucoup parler de tourisme spatial ou de vie dans l’espace. Par exemple, le projet « SpaceX » dirigé par Elon Musk, le programme « Virgin Galactic » dirigé par Richard Branson et le programme « Blue Origin » de Jeff Bezos. Leur but est de faire des voyages dans l’espace une réalité.
Mais cela va plus loin ! Exemple, le programme « SpaceX » vise à faire une colonie sur Mars. Mais est-ce si utile que ça ?
Les nouveaux projets
de tourisme.
Pour l’instant, le tourisme spatial n’est pas utile tout simplement parce que nous ne pouvons voyager loin dans l’espace et parce que nous n’avons pas vraiment de but pour ces très courts voyages ; et de plus, les places coûtent très cher : 250 000 $ pour « SpaceX ». Nous pouvons aussi parler de la première partie du projet « Virgin Galactic » qui vient de se conclure par le premier test positif de leur fusée à six places pour voyager quelques instants au-dessus de la couche d’ozone dans l’espace pour la modeste somme de 250 000 $. Il y a aussi le projet d’Elon Musk, qui consiste à créer une station orbitale pour envoyer des
touristes et, surtout, les jeunes pour qu’ils puissent étudier. C’est l’un des projets démesurés de Musk qui souhaiterait, à terme, que tous les jeunes étudient dans l’espace et que le reste de la population reste sur Terre pour travailler. En gros, l’espace comme lieu d’étude.
Une concurrence rude !
Musk est cependant concurrencé sur le secteur par Jeff Bezos qui intie son projet « Blue Origin » qui consiste à faire des vols habités dans l’espace. Après de nombreux
tests positifs de leur navette, un décollage avec trois privilégiés – Jeff et Mark Bezos et le gagnant des enchères(qui a remporté la mise pour la modique somme de 2,8 millions de dollars !!!) – est prévu pour le 20 juillet. Vers l’infini et au-delà ! Le voyage spatial peut-être utile. Mais il y a beaucoup de points négatifs comme par exemple l’inutilité de ces voyages pour l’instant, le prix des billets extrêmement élevé, la pollution générée par la production et l’utilisation des fusées. Bref, ce n’est pas encore pour demain...
Clément, Jules et Samuel