À table, les loustics !
Nous avons «cuisiné» le cuisinier du collège et il a bien voulu nous servir une interview exclusive aux petits oignons.

De cuisine en cuisine

     Notre cher cuisinier , Frédéric Béchet, a eu un parcours atypique. Il a travaillé tout d’abord dans la restauration commerciale avant de travailler dans la restauration de collectivité. Notre chef a passé un examen, ensuite il a travaillé dans plusieurs restaurants avant de se mettre a son compte en ouvrant son propre restaurant avec sa femme. Ensuite sa femme et lui en ont ouvert d’autres jusqu’au dernier dans la rue Berthelot à Tours.

Papille fait de la résistance

      Après ça, il a voulu échapper aux cadences infernales et s’est dirigé vers la restauration de collectivité, donc il a d’abord travaillé au collège Pablo Neruda à Saint-Pierre-Des-Corps. Quand l’ancien chef de notre collège est parti, M. Béchet a sauté sur l’occasion car les conditions de travail du collège où il travaillait auparavant ne lui convenaient pas (la nourriture n’était pas faite sur place).

     À présent, cela fait trois ans qu’il travaille dans notre collège, pour notre plus grand plaisir.La plupart des plats

sont faits sur place, mais certains sont évidemment industriels ; le personnel essaie d'en proposer le moins possible.


 
Toque toque... Qui est là ?

     Monsieur Béchet trouve ses inspirations de repas grâce à son expérience mais toutes les recettes ne sont pas possibles car il faut respecter un budget – mais la cuisine reste variée !

Maître Coq est matinal

     Notre talentueux cuisinier commence à 6h30 chaque matin ainsi que ses collègues.
     Une partie de son équipe entretient

les classes pendant que d’autres commencent la cuisine (confectionner les entrées et les desserts qui sont ensuite dressés joliment dans des assiettes).
     À 8 heures, la pause s’impose, pour reprendre à 8h30, et cuisiner jusqu’à 11h. Ensuite, tous mangent ensemble, pour qu’à 11h30 le service puisse commencer et finir à 13h.
      Ensuite, c’est le nettoyage de la cuisine, et à 15h45 la journée de travail est terminée.

Rien n'est trop bio pour nous

      Les menus ne sont pas encore totalement BIO car cela coûte trop cher, mais il y a une proportion de plus en plus importante de produits bio dans les repas.

      Nous tenons à remercier notre cher cuisinier de nous concocter de bons petits plats chaque jour.

Swanny et Adèle     

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© Le Presse-papier & Collège Philippe de Commynes (Tours) 2022

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