Notre maison brûle
L’urgence climatique s’impose à nous et les médias ne cessent de nous alarmer.
Mais qu’en est-il vraiment ?

Ça chauffe

      L’état d’urgence climatique désigne le réchauffement planétaire, problème majeur, qui appelle une mobilisation immédiate. Au fil des années, l’écosystème de la Terre se dégrade. L’équilibre de notre système climatique est très fragile et nous nous mettons en péril en le déréglant. Les émissions de gaz à effet de serre en sont la cause. Nous produisons du dioxyde de carbone avec tout ce qui utilise les énergies fossiles : pétrole, charbon, gaz naturel.
      L’élevage est une gros producteur de méthane,
 

 
un gaz bien pire que le dioxyde de carbone en matière de réchauffement climatique.

Un système complexe

      La terre est entourée d’une fine enveloppe gazeuse, l’atmosphère,
 

 composée principalement d’azote (environ 80%) et d’oxygène (20%).

      La surface de la terre se divise entre 70% d’océan et 30% de terres émergées.

      La fonte du manteau neigeux, de la banquise et des glaciers, des montagnes est une conséquence du réchauffement climatique. Depuis 1960, le manteau neigeux s’est réduit en moyenne de 12% par décennie dans l’hémisphère Nord.
      Le niveau des mers a monté de vingt centimètres en 2016, par rapport au XXème siècle. Ce phénomène s’accélère. La hausse du niveau des mers est ainsi un peu plus de deux fois plus rapide depuis treize ans, par rapport au siècle dernier.
 

Progression
géométrique ?

      Si nous ne réduisons pas nos émissions de gaz au cours des prochaines années, la température en moyenne pourrait augmenter de près de 5°C d’ici 2100. De même, les événements extrêmes comme les fortes pluies deviendront plus intenses et se produiront plus fréquemment.

      Le dérèglement climatique pourrait également avoir des conséquences sur l’agriculture. Dans les pays tempérés, le bétail pourrait être infecté par des maladies transmises par les insectes et l’agriculture pourrait subir la montée vers le nord d’insectes et de chenilles ravageuses.

On peut réussir

      L’exemple de la couche d’ozone est encourageant. Cette couche de gaz de la haute atmosphère qui nous protège des rayonnements cosmiques dangereux était trouée dans de nombreux endroits, particulièrement au dessus de l’Australie.


Plus grand trou dans la couche d'ozone jamais enregistré (septembre 2006).

      L’interdiction des gaz trichlorofluorométhane lui a permis de se reconstituer.
Donc, si l’ensemble des êtres humains sur terre se mobilisent (comme en Janvier 2020) contre des sources polluantes, nous sommes capables de sauver la planète.

Urgence

      Nous nous mettons en danger nous-mêmes : nous détruisons constamment notre planète. Notre planète étant notre seul lieu de vie, il faut la protéger au mieux. Au fil des années si nous ne faisons pas attention, alors la vie humaine sur Terre disparaîtra à tout jamais, mais sans les humains, la nature s’en sortira. Est ce vraiment une bonne nouvelle ?

Enzo, Joseph      

← Page 9 Page 10 Page 11 →

© Le Presse-papier & Collège Philippe de Commynes (Tours) 2022

Accueil Une Page 2
La nouvelle Principale
Page 3
Pesquet je le
vaux bien.
Page 4
Toutou est fini
entre nous
Page 5
À vos démarques, prêts, portez !
Page 6
On y est
fresque...
Page 7
Les basses
grésillent
Page 8
Poulpe fiction
Page 9
À vos marques, prêts, portez !
Page 10
Futur cuisant
Page 11
アニメ
Page 12
Voulez-vous
mes mets ?
Page 13
Convergence
Bio
Page 14
Et puy quoi
encore ?
Page 15
Arrête ton char
Page 16
On nous a à l'œil
Page 17
Stranger Things
Page 18
Assises du journalisme
Page 19
Assises :
Patrick Cohen
Page 20
Assises :
Marie-Laure Augry