Robot pour être honnête... |
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Une nouvelle espèce ? Les robots humanoïdes ont une forme humaine, c’est-à-dire qu’ils sont bipèdes avec deux bras et une tête. On les appelle humanoïdes du fait de leur apparence humaine. Ces nouveaux compagnons sont autonomes, c’est à dire qu’ils ont une capacité à se gouverner eux-mêmes, selon leurs propres règles variables. Une avancée exponentielle Le premier robot humanoïde (une paire de jambes puis un ajout de bras) a été créé dans les années 2000. Il devait seulement monter et descendre des escaliers et évoluer dans une pièce encombrée de meubles. Les robots animaux : Certains robots animaux peuvent être utilisés pour voir de plus près et discrètement les espèces animales : les ornithoptères sont des robots volants mi-oiseau mi-robot (c’est-à-dire que l’on prend les caractéristiques des animaux volants pour les mettre au service de la robotique). Ces robots servent à mieux voir et connaître la vie d’un animal pour, par exemple, savoir comment préserver les espèces ou tout simplement pour mieux connaître leur mode de vie. |
terre. Par exemple, le big dog : c’est un robot d’un mètre de long et de 75 cm de hauteur, d’une habileté apparemment sans faille. Il aide au transport de vivres.
Certains peuvent même sauver des vies, comme par exemple le robot cafard fabriqué en La haute technologie, Oui, car les robots servent au bien-être des gens, surtout aux personnes en difficulté comme les handicapés, et ils servent aussi à sauver des vies comme le robot-cafard comme nous venons de l’expliquer. Mais il faut faire attention à ne pas aller trop loin sur l’avancée technique de l’autonomie des robots, car nous créons peut-être les conditions de notre propre extinction. De plus, les robots prennent de plus en plus la place d’humains dans les travaux. Peut-être un jour les robots seront-ils patrons d’entreprises ? |
beaucoup s’ennuieraient. L’autonomie des robots L’autonomie des robots est un très gros sujet de débat par rapport à leur droit sur la vie humaine. Elle doit être encadrée par les lois d’Asimov. Exposées pour la première fois dans sa nouvelle « Cercle vicieux » (Runaround, 1942), mais annoncées dans quelques histoires plus anciennes, ces lois sont :
Sans ces trois règles, les robots ne doivent pas pouvoir être en état de fonctionner, car nous devons penser à nous, les hommes, et à notre vie, au lieu de toujours vouloir avancer plus loin et de trop perfectionner nos créations. Cela pourrait nous coûter la vie. Mais nous avons un peu de temps avant cela car le niveau technologique des puces, la source d’alimentation et la batterie ne sont pas encore au point. Joseph et Samuel |
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